L’ART ET LA CULTURE À LA PORTÉE DE TOUS
L’ART ET LA CULTURE À LA PORTÉE DE TOUS
Situé dans le Loiret, la Fondation Lorenzo Padilla est un sanctuaire artistique qui se dresse comme un pont culturel vibrant entre la France et l’international. Avec une mission ferme d’élargir l’accès à l’art, elle se dédie à l’inclusion, à l’éducation artistique et à la préservation du patrimoine culturel. L’espace solidaire de la fondation est un épicentre de créativité et de découverte, ouvrant ses portes régulièrement pour des vernissages qui réunissent des artistes émergents et établis, contribuant ainsi à l’effervescence culturelle locale et au-delà, tout en incarnant l’héritage artistique et humanitaire de Lorenzo Padilla.
Nos engagements
1. Inclusion : La fondation valorise l’Art Thérapie comme moyen de soutien pour les personnes en situation de handicap, ouvrant des voies d’expression et de guérison.
2. Éducation : Nous nous engageons à soutenir l’éducation artistique et à accom- pagner les jeunes artistes talentueux dans leur quête d’excellence et de reconnaissance.
3. Patrimoine : Préserver et valoriser le patrimoine culturel est au cœur de nos initia- tives, du local à l’international.
4. Accessibilité : Veiller à ce que l’art et l’éducation artistique soient accessibles à tous, indépendamment de leur situation économique ou sociale, et créer des programmes inclusifs.
5. Transparence : Maintenir une transparence dans la gestion de la fondation, en com- muniquant ouvertement sur les initiatives, les réussites, ainsi que les défis, et en instaurant une relation de confiance avec les parties prenantes et le public.
lORENZO PADILLA
lORENZO PADILLA
La trajectoire de Lorenzo Padilla depuis Cuba jusqu’à la scène artistique parisienne témoigne de l’esprit d’ouverture et de la quête d’excellence qui animent la Fondation. En 1959, Lorenzo part pour l’Espagne, puis s’établit en France en 1961. À Montparnasse, il côtoie des figures emblématiques de l’art telles que Cardenas, Von Dongen, Zadkine, Picasso, Foujita... Son engagement dans la scène artistique parisienne est marqué par ses expositions au Salon des Indépendants et au Salon Terres Latines,... Les distinctions et contributions humanitaires et culturelles internationales de Lorenzo jalonnent une carrière artistique prolifique.
Regardez ses toiles : vous êtes submergés de couleurs intenses, ses visions vous hantent nuit et jour sans relâche et vous transpercent l’âme. Ces œuvres sont magiques comme la « Santeria » Cubaine, elles vous font vibrer comme la musique aux racines profondes de Cuba. Sa peinture a un pouvoir occulte et mystérieux.
Chango dira de Padilla « L’Art doit être Poésie, Chant, Musique et Danse, une communication Universelle, nouvelle et immédiate. L’œuvre d’art et son pouvoir d’abstraction agissent sur nous à ce qui ne peut être évoqué par des mots, mais qui s’éveillent dans chaque être : Combat, Amour et Paix. »
Lorenzo Padilla est une sève Cubaine dont s’abreuvent ses racines et la quête perpétuelle des es- prits du monde Maya de ses origines, sa peinture évoque tout cela ...
Prenez garde à ce qu’un regard à ses toiles n’éveille en vous le pouvoir envoûtant de ces esprits nomades pour l’éternité.
Je suis né en 1931 à Matanzas, Cuba, au sein d’une famille humble et aimante. Tout petit je voulais être musicien car je voulais suivre les traces de mon père. Malgré tout, j’étais passionné par le dessin : je m’amusais à illustrer les livres d’école de mes cousines. Mon oncle Carlos, gardait tous mes dessins, et, lorsque j’ai eu 10 ans, Carlos est allé montrer mes petits travaux au professeur Alberto Tarasco. Ce dernier a adoré mon travail et a proposé à mon oncle Carlos de me donner des cours dans son Académie. Alberto Tarasco m’a initialement procuré une bourse d’un an. Mais je suis finalement resté dans l’Académie jusqu’à mes 16 ans.
Mon professeur voulait que je rentre aux Beaux Arts, mais mes parents ne souhaitaient pas que je m’engage dans la voie de la peinture. Ils voulaient que je devienne avocat. Après de nombreuses discussions et insistances, mes parents ont finalement accepté que je rentre au Beaux Arts dans la mesure où j’en ressortais diplômé. J’ai donc obtenu le diplôme de professeur de peinture.
Je ne remercierai jamais assez mon oncle qui a tant œuvré pour me faire découvrir ma vocation. Je dessinais sans cesse, tout ce que je voyais. Je me passionnais pour les grands peintres qui m’étaient ou non contemporains : Wifredo Lam, Ponce de Leon, Carlos Enriquez…
Plus tard, j’ai eu la grande chance de rencontrer Wifredo Lam à Paris, grace à mon épouse, Gracia, car son père, le célèbre archéologue et poète, Robert Ganzo, était un grand ami du Maître.
En ce temps là, nous étions à Montparnasse : nous fréquentions « LA COUPOLE» et étions proche du grand Cardenas. Nous nous retrouvions » avec Von Dongen, Zadkine, Foujita et sa femme Fernande Barrey, ...
Pourquoi avoir créé un Musée d’Arts à Matanzas ?
Lorsque j’étais étudiant, je devais me rendre à La Havane pour contempler des œuvres originales car il n’y avait pas de musée à Matanzas.
J’ai donc décidé que si un jour je le pouvais, je créerais un musée dans ma ville natale. Ce jour est arrivé. J’ai donc pu doter Matanzas d’un musée d’art. Je l’ai alimenté avec mes propres créations, et mes collections personnelles comme par exemple 800 gravures originales dont quelques Rembrandt et les cadeaux qui m’avaient été faits par tous mes amis peintres rencontrés tout au long de ma vie. Par ailleurs, fidèle à mes origines, j’ai aussi alimenté le musée avec des œuvres originales d’art africain car je suis très sensible à la culture afro-cubaine.
Matanzas, c’est ma ville natale. Elle est belle et toute bleue. La baie de Matanzas est aussi grande que la baie de Santiago de Cuba. Quelques grands rythmes cubains sont nés à Matanzas : le Danzon, le Guaguanco, le Mambo aussi… Mon rêve pour le musée, ce serait d’acquérir une très grande œuvre reconnue internationalement pour que l’on vienne l’admirer et par la même occasion admirer les travaux de maîtres oubliés ou inconnus.
Je souhaite que le Musée de Matanzas devienne le plus grand Musée au monde dédié à tous les artistes inconnus ou oubliés de la planète et qu’il mette en avant la culture musicale de Matanzas, La Rumba , Le Mambo, Le Danzon , Le Guaguanco, etc.
Pourquoi maintenant une Fondation ?
Je vais mourir avec un pinceau à la main ; mais en attendant mon vœu le plus cher est d’aider tous les artistes démunis à développer leur art. Petit, j’ai souffert du manque … Alors, je me suis juré d’aider les artistes les plus démunis, principalement à Cuba, en France et à l’international.
L’art est nécessaire dans le monde. L’homme qui fait de l’art ou qui s’y intéresse ne fait pas la guerre. Je suis pour la beauté du monde. Je veux que la guerre cesse. Aimer, ne pas porter rancune. La peinture et l’art sont faits pour les autres. L’art permet de respirer et de rapprocher les peuples. Je n’ai pas eu la chance de me lancer avec l’aide de quelqu’un alors je veux donner cette chance aux autres.
Après la révolution cubaine, j’ai eu une bourse de cette même révolution. J’étais révolutionnaire de la première heure. Je suis et je serai toujours un révolutionnaire – par le pinceau, je veux aider mon pays : c’est mon arme.
Je veux aussi que Cuba devienne une référence artistique en termes de peinture. Je veux mettre l’art à la portée de tous, aller présenter des expositions dans les coins les plus retirés de la planète : l’art, c’est pour tout le monde.
Mon petit-fils, David Padilla, Co fondateur de la fondation Lorenzo Padilla et son épouse, Marie Padilla, m’aident dans cette quête. Ils sont très engagés. Tout comme mon frère Pedro Padilla. Je veux leur dédier la force de la fondation, ainsi qu’à Gracia, ma défunte épouse, mon inspiratrice : elle me manque tant mais elle est toujours dans mon cœur.
Quelles sont mes plus grandes références ?
Le plus grand pour moi est Diego Velasquez ; c’est le précurseur de l’Impressionnisme, il a les touches de la liberté. Mais il y a aussi Goya, Greco, Turner, Monnet. Mon rêve serait d’être dans la lignée de ces grands artistes. Je dis cela sans prétention. Je n’imite personne, je m’inspire. J’espère qu’un jour on parlera de moi comme étant un grand peintre mais surtout comme étant un grand bienfaiteur.
ici coule la clery l’expo
ici coule la clery l’expo
Cette fresque murale, intitulée "Nuage de Pollution", est un puissant commentaire social et environnemental réalisé par le street artiste international Dave Baranes sur le mut de l’intermarché de Courtenay
Le passage du Cygne de Courtenay abrite une fresque authentique signé du street artiste Dave BARANES. Une oeuvre envoûtante qui orne le mur de la fondation Lorenzo Padilla.
Les samedis 29 juillet et 5 août, de 14h à 16h, rendez-vous à la galerie solidaire au passage du cygne à Courtenay pour deux ateliers de dessin exceptionnels.
Si vous rêvez de vous initier au Street Art en compagnie d'un artiste reconnu, ne ratez pas cette opportunité unique ! L'atelier, organisé le samedi 5 août de 14h à 16h, se déroulera à l'accueil d'Intermarché de Courtenay.
Le domaine de Vauguouard a accueilli avec joie la première édition du Trophée de Golf Lorenzo Padilla, une compétition caritative empreinte de solidarité. L'objectif principal de cet événement était de financer l'acquisition de verticalisateurs "paramobile paragolfeur", permettant ainsi aux personnes en situation de handicap de pratiquer le golf.
FONDATEURS
Lorenzo, David et Marie Padilla y Diaz
david@fondationlorenzopadilla.org
GOUVERNANCE ET ADMINISTRATION
Marie Padilla y Diaz - Présidente
marie@fondationlorenzopadilla.org
COLLÈGE D’HONNEUR
Président d’Honneur
M. Jean-Pierre Bel
Membres Honorifiques
Mme Barbara HENDRICKS
Docteur Walter Scandale Docteur
Docteur et Maître Erik Gonthier
M. Emmanuel Valentin
Mme Haydeline Diaz
M. Dave Baranes
Mme Claudia Padrón Gómez
M. Adrián Gómez Sancho
Mme Dominique Cros Pophillat
PARTENAIRES ET MÉCÈNES
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scrollez vers le bas
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